« Les 35 heures » portent en elles-mêmes les germes de leur échec car elles sont fondées sur une vision anachronique de l’entreprise et du corps social.
Dans un monde ouvert et moderne, les grandes avancées économiques et sociales sont le fruit du respect de chaque individu et de chaque agent économique à négocier librement leurs relations contractuelles. La France est trop souvent encore enfermée dans la dialectique stérile exploiteur-exploité.
La prise de conscience avouée ou non du fiasco des « 35 heures » par l’ensemble de la classe politique devrait être l’occasion de remettre à plat le cadre contractuel du salariat devenu archaïque et qui constitue un frein au développement économique.
Alternative Libérale rappelle que le législateur en matière de droit du travail ne devrait avoir d’autre rôle que de veiller à la capacité de chacun (individuellement ou en association) à négocier librement les termes de son contrat de travail.
Les socialistes suisses ont voulu eux aussi intégrer dans la constitution helvétique la semaine de 36 heures, par une initiative populaire. ( En Suisse ont travail habituellement entre 41 et 45 heurs par semaine. C'est selon. )
RépondreSupprimerPlus de 70% des votants ont rejeté le projet socialiste.
D.J
que du bon sens !
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