Tout est peut-être parti de cet incroyable mensonge sur la crise dont parlait Libertarien : nier la responsabilité des Etats dans la crise. Ca a permis à Hollande de mener cette campagne de déni.
Pourtant, rappelle Humeurs de Vaches, En politique, la méthode Coué ne fonctionne pas.
3,17 millions de chômeurs, (à économiser), croissance zéro, 3% de déficit enterré… Elle est belle la France des promesses socialistes !, note Hervé Morin.
En effet, citons Opposition Républicaine : "c’est dorénavant acquis, le France ne sera pas en mesure de respecter ses engagements budgétaires européens pour 2013 sur les 3% de déficit public. Idem pour les prévisions de croissance ! Autre engagement présidentiel également dénoncé, la courbe du chômage ne sera pas inversée cette année ! Alors, notre Président, menteur ou amateur ?"
Il faut dire que les socialistes ont depuis longtemps perdu leur crédibilité.
Prenez une personne comme Delphine Batho, qui n'avait pas vu le retour des farines animales, comme le note Un Raleur de Plus.
Prenez une banquière nommée Ségolène Royal, comme le mentionne Thierry Vimal.
Prenez Vincent Peillon et ses 60 000 postes dont parle l'Hérétique.
A chaque fois, ça va dans le même sens : celui d'incapables et d'illusionnistes, qui, faute de pouvoir et de vouloir agir sur le réel, commentent la mort de Stéphane Hessel (voir le blog de Corto 74), luttent contre les riches au cinéma (lire Jean-Paul Huchon en lutte contre les riches au cinéma sur le blog de h16 hashtable) ou grignotent nos libertés, ou encore, comme l'analyse Guy Sorman, s'occupent de qui peut se marier ou non, au lieu de laisser les individus s'organiser librement.
Du coup, comment s'étonner que, comme le note Toujours Plus Libre, Plus que jamais, les jeunes français pensent à l’étranger. A moins que la bonne solution ne soit celle que propose La Lime : la grève des impôts ? En attendant, on peut osciller entre l'espoir raisonné que Christian Saint-Etienne développait il y a quelques jours devant le Parti Libéral Démocrate (voir le blog de l'insolent Pouvons-nous sortir de cette désespérance ?) ou une vision plus pessimiste. Quand est ce que les français comprendront qu'il faut se débarrasser de cet étatisme qui les drogue et les étouffe, se demande Libertarien ?
Nous sommes déjà à 56.7% du PIB en dépense publique, rappelle Contrepoints. L'argent public ne fait pas le bonheur, assurément.
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