Il est certes toujours facile de sortir le "on vous l'avez bien dit". Mais si on reprend l'affaire du braqueur abattu par la police à Grenoble, que voyons nous dans le cas présent, si ce n'est l'échec de politiques étatistes ?
Reprenons l'affaire : deux jeunes braqueurs fuient et sont poursuivis par la police. Première décision des deux braqueurs : braquer une banque. Pas le genre de situation dans laquelle on se retrouve par hasard.
Dans leur fuite, les malfaiteurs présumés tirent sur la police et cherchent manifestement à récuperer l'avantage du terrain en se réfugiant dans leur quartier. Deuxième décision : compter sur le soutien passif ou actif des habitants du quartier, comme dans l'affaire Colonna.
Un policier riposte à un tir, manifestement, et tue un des deux braqueurs.
Comment parler d'autre chose, de la part des braqueurs, de risques librement assumés, et comment comprendre que leurs amis et au dela les défendent ?
Depuis 30 ans on a eu deux sortes de reponses : l'angelisme gauchiste de la culture de l'excuse, aideé par des juges comprehensifs, et le securitaire droitier avec l'explosion du nombre de gardes à vue et de bavures.
Force est de constater que ca n'a pas marché, y compris à Grenoble, où, pourtant, les électeurs ont choisi de voter pour un autre candidat qu'Arnaud Walther, candidat dans la 4e circonscription de l'Isère en , qui avait pourtant bien mis en lumière l'échec de l'UMPS sur le domaine de la sécurité comme dans bien d'autres.
Alors, électeurs, ne pensez vous pas qu'il est temps de passer à autre chose, à une France libérale ?
Supprimons les allocations familiales, privatisons les HLM, supprimons le SMIC et autres blocages, et faisons en sorte de restaurer une société du travail et du mérite. Pour simplifier : celui qui veut avoir un toit et de quoi manger dans le frigo doit travailler.
Retrouvez Arnaud Walther sur TeleGrenoble ici, en train de développer les solutions d'Alternative Libérale.
"Celui qui veut avoir un toit et de quoi manger dans le frigo doit travailler".
RépondreSupprimerPas d'accord avec cette affirmation "aussi radicale" !! Facile à dire quand il suffit d'un petit handicap (et je dis bien "petit") pour qu'aucun employeur ne veuille vous en embaucher (j'y suis passée personnellement !). Et que dire du "gros handicap" qui lui de toute manière "empêche de faire quoi que ce soit comme travail" ?! Serait-il juste de pénaliser y compris l'inactivité "non consentie" ? Et puisque vous évoquez les allocations familiales, qui elles sont destinées aux "enfants", faudrait-il "les envoyer eux aussi travailler", du moins dans les familles à bas salaire ? Car malheureusement un humain (même parent !) est "limité dans ses forces", il ne possède pas la capacité de travailler pour lui-même et "en plus à la place de ses enfants mineurs" !
Vous avez donc l'air d'omettre (serait-ce volontairement ?) qu'Arnaud Walther s'est prononcé en faveur du "Revenu de Liberté" (montant 500 euros), destiné à remplacé toutes les autres allocations sociales (un RL étant néanmoins accordé "aussi en plus par enfant à charge", d'une valeur de 100 euros) ! Lequel a été "maintenu dans le programme d'AL" par les dernières Assises de la libre parole, faut-il également le rappeler !
Bonjour,
RépondreSupprimerle revenu universel est une excellente idée dont les modalités precises restent à fixer.
Par contre, en ce qui concerne les allocations familiales, cette heresie, elles sont evidemment adressées aux ayant droit, les parents.
Justement a propos de famille, etant donné, comme vous dites, qu'un un humain (même parent !) est "limité dans ses forces", est ce à sa famille ou bien aux contribuables à pallier son manque de force ? Je vous pose la question, sachant que tout handicapé est capable de faire quelque chose. on ne leur donne juste pas leur chance.
"Est ce à sa famille ou bien aux contribuables à pallier son manque de force ?"
RépondreSupprimerCette question ne peut avoir de réponse vu "qu'une autre s'impose aussitôt derrière : est-il juste de ne pas prendre en compte que "l'enfant a besoin de manger autant que ses parents" (à rappeler par ailleurs cette vérité dérangeante "qu'aucun enfant ne demande à venir au monde", voilà pourquoi il est "doublement injuste" de ne rien donné pour un enfant !). Mais de toute manière (si vous me lisez bien) je ne défens pas le système actuel des "allocations familiales" mais "le revenu universel dès la naissance" (100 euros jusqu'à 18 ans) qui part "exactement du même principe que celui de l'adulte" !
"Tout handicapé est capable de faire quelque chose. on ne leur donne juste pas leur chance."
C'est précisément ce que j'ai dit, qu'on "ne m'a jamais accordé la mienne" ! Alors tout simplement ceux à qui il faut dire ça ce sont "les employeurs" ! Vous n'avez quand même pas la naïveté de croire qu'il suffirait de ne plus rien nous donner du tout pour que ceux-ci "s'émeuvant de compassion pour nous, se mettent tout à coup à nous embaucher" !! Rassurez-moi ! Et de toute façon, nous n'avons pas personnellement la force de courir un tel risque (moi pas, en tout cas) !