Le 9 novembre 1989, le Mur de Berlin est tombé.
28 ans plus tôt, les autorités est-allemandes, sincèrement convaincues de vouloir faire le bien du peuple et le Bien sur Terre, avaient érigé un mur autour de Berlin Ouest (en plus du rideau de fer, la frontière hermétiquement gardée entre l'Allemagne de l'ouest, une démocratie libérale, et l'Allemagne de l'est, une démocratie populaire socialiste) afin d'empêcher les gens de l'est de fuir à l'ouest.
Berlin, deux ans avant la chute du Mur par LEXPRESS
Aujourd'hui, il existe encore quelques paradis socialistes (l'état, selon Marx, qui permet la transition vers le communisme) comme Cuba ou la Corée du Nord. A notre connaissance, aucun Coréen du Sud, aucun dominicain ou martiniquais ne cherche à fuir vers ces pays pourtant égalitaristes.
Mais au delà de ces anecdotes, il y a l'immense archipel des états d'apparence démocratique mais aux très fortes tentations dirigistes, à commencer par la France.
Déjà, la technologie aide. La DCRI, ou la NSA disposent de moyens de surveillance des foules dont n'aurait même pas oser rêver un type de la Stasi de 1989.
Ensuite, il y a la volonté politique explicite de garder les citoyens dans un enclos, et d'user de tous les moyens, y compris illégaux, pour faire appliquer le droit du plus fort. Quand la France de François Fillon crée une exit tax (légal), quand elle fait appel à des listes de données bancaires volées et fait du recel (illégal), ou quand la France de Hollande met des douaniers à Genève pour photographier les français (légal ?), quand de simples manifestants se voient prélever leur ADN pour le fichier FNAEG, quand la Sécurité Sociale peut demander à avoir accès à nos comptes en banque, on peut penser qu'il se recrée un mur de Berlin numérique autour de notre liberté de mouvement. Tout le monde ne cherche pas à frauder le fisc ou à partir? Mais faut-il pour autant profiter de la volonté des français de vivre chez eux, dans leur pays, pour leur imposer toujours plus de taxes et d'impots, bref toujours plus d'Etat ?
Restons vigilants. Il n'est pas si sûr que cela qu'en 1989, ce soient les démocraties libérales qui aient définitivement gagné la partie, loin de la.
Les Murs de Berlin sont dans la logique de tous les étatismes.
" A notre connaissance, aucun Coréen du Sud, aucun dominicain ou martiniquais ne cherche à fuir vers ces pays pourtant égalitaristes. "
RépondreSupprimerComme on a vu qui a massivement franchi la frontière entre les deux Allemagnes lors de l'écroulement du mur de Berlin.
D.J
" Restons vigilants. Il n'est pas si sûr que cela qu'en 1989, ce soient les démocraties libérales qui aient définitivement gagné la partie, loin de la. "
RépondreSupprimerC'est pire quand ce combat anti-libéral est mené par des personnes se disant libéraux. En Suisse les socialistes veulent par initiative populaire inscrire dans la loi une interdiction à toute entreprise de faire dépasser plus de 12 fois le plus haut salaire par rapport à celui du plus bas. Afin de lutter contre les hauts salaires des dirigeants. C'est l Initiative 1:12. Hier dans le 24 heure un politicien de droite valaisan se disant libéral soutient cette interventionnisme de l'état dans la politique salarial d'une entreprise. Vous pouvez aussi lire le blog d'un politicien se disant libéral soutenant cette initiative liberticide des socialistes.
http://leblogdefrancoismeylan.blog.24heures.ch/
On se rappel tout ces " libéraux " ayant soutenu l'initiative Minder. Cette dernière par une loi étatique oblige le actionnaires des entreprises cotées en bourse de décider eux-mêmes le fixation des salaires les dirigeants de leur entreprise. La liberté qu'on les actionnaires de laisser les conseils d'administration ou n'importe qui d'autre est désormais interdite. On touche carrément au droit à la responsabilité individuelle du propriétaire de l'entreprise de décider de sa propre politique salariale. La loi interdit également bonus et primes de bienvenu ou parachutes dorés. Le pire c'est que le père de cette loi Thomas Minder est un entrepreneur se disant libéral. En bon faux-cul il s'est bien gardé de faire une loi qui ne concerna pas son entreprise. La loi s'applique uniquement aux entreprises cotées sen bourse. La sienne ne l'est pas. Donc il peut si il le désire verser prime, bonus et parachute doré des pratique qu'il a faire interdire aux autres.
De plus un libéral non seulement rejetterait ces lois liberticides et contraire au respect de la propriété privée et à la responsabilité individuelle; mais là rejetterait parce qu'il y en plein le cul de cette tyrannie de la majorité démocratique qui veut imposer des lois à une minorité dans des domaines qui relèvent des libertés individuelles, de la responsabilité individuelle et du respect à la propriété privée et du libre arbitre de l'individu.
Nous allons aussi bientôt voter pour une initiative socialiste pour un salaire minimal obligatoire. Si cette initiative passe + celle de 1:12 + celle de Minder la suisse aura porté un coup dure sur la liberté économique que jouis encore ce pays. Et dire que des gens se disant libéral auront contribuer à cela.
Il faut plutôt La liberté qu'on les actionnaires de laisser les conseils d'administration ou n'importe qui " DE DECIDER LA FIXATION DES SALAIRES DES DIRIGEANTS DE LEUR PROPRE ENTREPRISE " d'autre est désormais interdite.
SupprimerD.J
Le paradis socialiste populaire de Corée du Nord est très en avance sur nous du point de vue écologie et indépendance pétrolière. Nous devrions nous en inspirer.
RépondreSupprimerhttp://china-defense.blogspot.fr/2013/11/north-koreas-wood-burning-military.html