- une stricte discipline budgétaire et la réforme fiscale (élargissement de l'assiette fiscale, diminution des taux marginaux) ;
- la libéralisation des taux d'intérêt et un taux de change unique et compétitif (sortir du triangle des impossibilités de Mundell, disent les spécialistes) ;
- la libéralisation du commerce extérieur et éliminer les barrières aux investissements directs de l'étranger ;
- privatisation des monopoles ou participations ou entreprises de l'État,
- la déréglementation des marchés (par l'abolition des barrières à l'entrée ou à la sortie) ;
- la protection de la propriété privée, dont la propriété intellectuelle.
Apparemment, ces mesures ne peuvent pas s'appliquer en Grèce. Pourquoi ? Mystère. Quand il s'agit de la Roumanie ou d'un petit pays d'Afrique ou d'Amérique du Sud, on prend moins de gants.
Puisque tout l'argent investi en Grèce est perdu (dixit Jean-Louis Bourlanges, fin connaisseur des problématiques Européennes), le moins qu'on puisse attendre de nos amis Grecs est qu'ils cessent les protestations contre la fédéralisation de leur budget public. A moins qu'ils préfèrent devenir vraiment indépendants (sortir de l'Europe).
Jean-Louis Bourlanges : La situation de la... par FranceInfo
vive la monarchie!!!!!!!!!
RépondreSupprimerAlors toi t'es con et en plus t'es resté bloqué sur ton clavier donc t'as des crises d'épilepsie.
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