D'ici un mois maximum, les Etats Unis d'Amérique auront à déterminer si ils continuent le délire des Quantitative Easing, ou bien s'ils admettent l'impasse économique dans laquelle l'Etat fédéral, coincé sur 3 fronts militaires, se trouve.
D'ici la, après la Belgique, le Portugal ou la Grèce, la France se sera sans doute vu mettre la pression par Fitch, Moody's ou S&P. Heureusement, le fédéralisme budgétaire et la révolte des contribuables, seront une porte de sortie pour l'UE.
Entre temps, on continuera à accuser les spéculateurs, les paradis fiscaux et autres de tous les maux et de la source de tous les malheurs de la France incapable de capitaliser par elle même sur ses nombreux atouts et de trancher dans le vif, pendant qu'il est encore temps, dans tous les poids morts liés aux canards boiteux du conservatisme socialiste.
D'ici la, après la Belgique, le Portugal ou la Grèce, la France se sera sans doute vu mettre la pression par Fitch, Moody's ou S&P. Heureusement, le fédéralisme budgétaire et la révolte des contribuables, seront une porte de sortie pour l'UE.
Entre temps, on continuera à accuser les spéculateurs, les paradis fiscaux et autres de tous les maux et de la source de tous les malheurs de la France incapable de capitaliser par elle même sur ses nombreux atouts et de trancher dans le vif, pendant qu'il est encore temps, dans tous les poids morts liés aux canards boiteux du conservatisme socialiste.
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