Pkoi faire un "appel pour que le FN ne soit pas n°1" ? ça s'appelle pas les élections ? http://t.co/I6LsvdqVE8 en plus, contre-productif ...
— Nicolas Quint (@quintnico) 21 Mai 2014
Des TV qui, parce qu'elles s'informent dans la rubrique littéraire du Monde plutôt que sur Facebook, qualifie de méconnu un bouquin qui manifestement, fait du bruit.
Le best-seller méconnu sur @manuelvalls qui cartonne #LNE pic.twitter.com/KuE0T8UPTu
— La Nouvelle Édition (@LNEcanal) 21 Mai 2014
Quand est ce qu'une certaine élite, qu'on pourra qualifier à tort ou à raison, de bien pensante, comprendra que prendre de haut la réalité ne la fera pas disparaître ?
L'extrême droite se nourrit non seulement du fait que les politiciens de gauche et de droite finissent par adopter ses points de vue (Arnaud Montebourg qui affirme, en réponse au décret Alstom que "les nations ont le droit de vivre" ?) mais aussi de ce mépris affiché envers toutes les thèses qui ne vont pas dans le bon sens.
Manuel Valls, au delà des obsessions de certains sur son lien à Israël (et on sait où ce genre de théories mène), reste un personnage qui, même à gauche, devrait susciter des interrogations. Ne pas vouloir le reconnaître permet justement aux complotistes en tout genre d'alimenter la rumeur et donc de faire marquer des points à l'extrême droite.
Ainsi, à l'instar de l'écrivain controversé Emmanuel Ratier (mais qui semble toujours sourcer ses affirmations), on peut se comment une personnalité avec le parcours de Manuel Valls a pu devenir premier ministre de notre pays, la France.
Pour les Européennes, l'UMP, le PS et autres partis de gouvernement feraient mieux de se faire discrets. Tout ce qu'ils peuvent affirmer contribue à alimenter les extrêmes.
Le problème, ce sont donc bien eux, les représentants des partis de gouvernement, à commencer par Valls.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire