lundi 15 octobre 2012

Air Sarko One : de qui se moque t-on ?

La gauche se tarissait pas de baveuse jalousie critiques vis à vis d'Air Sarko One. Apparemment, le souci n'était pas du tout le sain usage de l'argent public, mais juste le fait de savori qui avait les clefs de l'avion.


Attention, images choquantes, on peut voir dans cette vidéo un Flamby à la mine réjouie, jouant au Président de la République.





Ancien discours socialiste


Nouveau discours socialiste
  • "C'est un lieu qui nous permet de travailler à toutes les étapes du voyage, et l'avion est une étape du voyage", estime François Hollande. 
  • Pour Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, les polémiques sur le luxe supposé de l'appareil n'ont plus lieu d'être.


De qui se moque -t-on ? 

3 commentaires:

  1. Le début du reportage suffit : "on ne laisse pas sur le tarmac un appareil qui a coûte 176 millions d'euros au budget de la Défense". Vous vouliez quoi ? Que Hollande revende l'appareil ? Le mette au rebut ? Autant l'utiliser quand on a dépensé autant pour le construire. Mais vous avouerez que Sarkozy n'a pas eu la meilleure idée de sa vie, quand en pleine rigueur budgétaire (et que la France était dixit Fillon "en faillite"), de faire construire un avion de ce prix pour satisfaire son égo. Quand on sait que Merkel prend des vols commerciaux classiques pour se déplacer, on voit bien que Sarko avait des envies de luxe (qu'il n'a jamais renié d'ailleurs). Alors, il est vrai que Fabius est gonflé de dire que les polémiques sur le luxe de l'avion n'ont pas lieu d'être alors que très probablement il était l'un des détracteurs de Air Sarko One il y a quelques années. Mais bon, comme je l'ai dit, l'avion est construit donc autant l'utiliser.

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    1. La rigueur budgétaire, c'est la baisse drastiques des dépenses publiques et accessoirement des impôts, tout le contraire de ce font Sarkouille la fripouille et Molle Glande.

      Sinon, rien de neuf sous le soleil : exclus de la bonne soupe d'argent gratuit des autres pendant 17 ans, les socialistes officiels ont exprimé leur jalousie à l'égard de ceux qui contrôlaient le robinet. Maintenant qu'ils ont repris la main, ils vont se servir, comme sous Mitouille, à grosses louches jusqu'à ce qu'arrive la faillite.

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